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D’abord, c’est quoi une communication
responsable ?

manon bailly

Par Manon Bailly
Directrice de l’agence Bee Happy

Nous sommes en 2023 et le monde de la communication n’a qu’un mot à la bouche : “responsable”. Tous les communicants, annonceurs, agences, entreprises, s’y sont mis.
Et on ne va pas s’en plaindre. Chez Bee Happy, la RSE, c’est plus qu’une posture :
c’est ce qui nous anime depuis le début. L’agence a été créée en 2010 avec l’idée que l’on pouvait faire de la communication autrement. Car à l’époque, la com’ était loin d’être vertueuse. Et puis le réchauffement climatique, la loi Pacte, la convention climat, #metoo sont passés par là… Plus qu’une tendance, l’éco-responsabilité est devenue un prérequis pour qu’une marque continue à exister.

Mais qu’entend-on vraiment par "communiquer responsable” ?

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Montrer
le bon exemple

Cela paraît peut-être évident, mais avant toute chose, il faut d’abord être convaincu que la transition écologique, l’évolution de nos pratiques et de nos mentalités est une nécessité absolue pour les années à venir. Ce n’est pas juste une stratégie, un positionnement, même si c’est dans l’ère du temps. Il faut en être, il faut y croire : adopter un mode de vie plus sobre, faire son propre bilan carbone, être à l’écoute de ses salariés, challenger ses pratiques managériales… Commencer par changer soi-même, et montrer l’exemple.
Si vous vous demandez ce qu’on fait concrètement chez Bee Happy, lisez nos engagements.

Se poser les
bonnes questions

?!

Une communication responsable intègre les enjeux écologiques, humains et sociétaux à tous les stades de la production. Cela consiste à s’interroger sur la nature du message mais aussi la façon dont on va le délivrer. Il faut se poser les bonnes questions : est-ce nécessaire de communiquer ? Le message est-il en cohérence avec les valeurs, les actions de l’entreprise ? Quels sont les objectifs à atteindre ? Quels sont les moyens les plus efficaces pour y arriver ? Le tout, sans hésiter à se remettre en question en permanence à chaque projet ! Si cela vous intéresse, chez Bee Happy, on a développé la méthode “pour de bon”.

Avoir les bons réflexes

Une fois qu’on a défini tout ça, on entre dans le dur du sujet : réduire au maximum l’impact écologique de nos actions de communication. Concevoir responsable, c’est faire mieux, avec moins : limiter les aplats de couleur, choisir une typo qui consomme moins d’encre, réduire le nombre d’images et de vidéos d’un site web, sourcer les bons fournisseurs, les matières premières… De la conception à la production, il existe tout un tas de bons réflexes pour limiter notre empreinte environnementale. Éco-branding, éco-design, éco-conception… Si vous souhaitez creuser le sujet, lisez notre série d’articles sur la question.

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Faire passer
les bons messages

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Enfin, communiquer responsable, c’est penser que la communication peut être utile et même vertueuse, apporter quelque chose de positif, de bon au monde qui nous entoure. Cela revient à se servir du grand pouvoir d’influence de la publicité pour passer des messages forts, engagés, ou simplement contribuer à faire évoluer les mentalités. À travers un concept, une accroche, une image, une campagne, on peut véhiculer une image souhaitable de la société, un mode de vie plus sobre, des comportements plus justes, plus tolérants. En d’autres mots, ajouter notre petite pierre à l’édifice.

Voilà, en quelques mots, comment je décrirais notre démarche “communiquer pour de bon”.

Manon Bailly ,
Directrice de l'agence Bee Happy

Si vous voulez échanger ou rebondir sur le sujet, n’hésitez pas à me contacter pour qu’on en discute !

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